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 Rien n'a changer, même, c'est devenu pire! - Fréro

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Poppy K. Salinger

Poppy K. Salinger


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MessageSujet: Rien n'a changer, même, c'est devenu pire! - Fréro   Rien n'a changer, même, c'est devenu pire! - Fréro EmptySam 27 Déc - 1:11

    Rien n'a changer, même, c'est devenu pire! - Fréro 123p26uau0 Rien n'a changer, même, c'est devenu pire! - Fréro Avilaurenaudrina6dz4
    "Quand on ne peut revenir en arrière, on
    ne doit se préoccuper que de la meilleure
    façon d'aller de l'avant.
    "
    [P. Coelho]


    Un bar, le soir, et:

    Je suis majeure! Regardez-là! Me faites pas chier, et donnez moi cette p*tain de bouteille!

    Des jambes qui n'arrivaient pas à rester immobiles, un serveur se faisant arracher la bouteille des mains. Des billets de banque tombant mollement sur le bar, et une fille marchant droit, enfin comme elle pouvait. Poppy n'était pas bien aujourd'hui. Enfin son petit ami lui en voulait parce qu'elle n'avait pas trouver la bonne came. Elle faisait tout de travers, elle n'était nul pour tout. Elle sortit du bar, sa bouteille à la main, sa pochette dans l'autre. Elle se dirigea vers chez elle. Enfin, elle se mit au milieu de la route, et un taxi s'arrêta. Heureusement qu'à cette heure-ci les conducteurs faisaient attention, surtout dans ce coin. Son petit ami lui avait dit qu'il ne voulait plus l'a voir. Mais c'était toujours comme ça, après qu'il est passé un moment seul, il revenait pour lui dire qu'il était désolé. Mais ce qui était le plus triste dans tout ça, c'est que Poppy croyait à tout ces mensonges, alors qu'en réalité, elle n'a jamais été une fille naïf, mais quand cela concerne son petit ami, elle croit tout ce que vous lui raconter. Elle donna plusieurs billets au taximan, celui-ci fut content de ne pas rendre la monnaie.

    Elle sortit du taxi, et marcha la longue allée, longeant toutes les villa de Horez Side. Elle passa devant une villa, qui ressemblait à celle de son frère, avant qu'il part. Oui, son frère, il était partit, l'abandonnant. Ok, elle avait été ignoble avec lui, elle l'avait rejetée, elle lui avait dit des atrocités. Mais derrière tout ça, c'était son frère, elle l'aimait. Et lui, du jours au lendemain, il était partit, alors qu'elle, elle n'avait personne, personne a par son petit ami. Elle était en colère contre la première personne qui l'avait surnommé Kendy. Elle lui en voulait. En marchant, elle ouvrit sa bouteille, et but une longue gorgée.

    Elle arrivait enfin chez elle, elle ouvrit la porte, jeta son sac sur le beau canapé en cuir blanc. Toujours sa bouteille, en main, elle prit un vase, enleva les fleurs, et le retourna. Un sachet de poudre blanche y tomba. Elle prit ce sachet, prit une seringue dans un placard, une cuillère, et son briquet qui trainait. Elle trébucha en chemin, jusqu'à la grande piscine qui trônait à l'arrière de chez elle. Elle n'était pas encore complètement saoule, elle contrôler encore ce qu'elle faisait. Elle ouvrit le sachet, versa un peu de poudre dans la cuillère. Prit son briquet et mit la flamme de feu en dessous de la cuillère. Quand la poudre blanche se transforma un liquide, elle prit une seringue, tout ceci en buvant sa bouteille. Elle dosa doucement, prit son élastique, serra bien sur son bras. Prit la seringue, et enfonça celle ci. Au fur et à mesure que le liquide se diluait dans son sang, elle ressentait son effet. Elle jeta la seringue à côté. Elle avait les pieds dans l'eau. Elle soupira de contentement. Cela faisait tellement de bien.

    Après un moment, elle prit sa bouteille, et buvait tranquillement, regardant le paysage qui se posait devant elle. Plus d'une heure était passé, elle s'ennuyait. Ses yeux se posaient sur le sachet. Son copain lui manquait, tout lui manquait. Surtout son frère. Aujourd'hui elle avait crut le voir dans la rue, mais c'était surement une vision. Elle voulait tellement le revoir. Elle était triste, trop triste, des larmes coulaient doucement sur ses joues. Son bras lui faisait mal aussi. Là où elle se piquait, c'était devenu un peu bleu. Elle avait encore envie, elle ne voulait plus penser à son frère, elle ne voulait plus être triste. Elle sépara la poudre en ligne, prit ce qu'il faut et sniffa. Elle retourna dans un état second. Soudain, elle entendit sa sonnette. Elle espérait que c'était son petit ami. Elle se leva doucement, marcha pieds nus, pas très droit.
    Elle ouvrit la porte, tout en passant son doigt sous son nez et en reniflant. Elle vit une personne, elle vit son frère. Non, elle rêvait. Non, elle ne voulait pas le voir, pourquoi la drogue lui faisait ça ! Elle renifla une nouvelle fois, énervée par ça. Elle referma la porte en claquant, mais on pouvait l'ouvrir de l'extérieur. Elle s'éloigna, partant vers la piscine, tout en buvant pour oublier ce qu'elle avait vu. Pour elle, c'était faux, tout ça, non, il pouvait pas être là, comme ça ! Elle entendit la porte s'ouvrir derrière elle.

    Laisses moi tranquille! Ça ne peut pas être toi !... fit-elle complètement affolée.

    Elle marchait tout en se retournant, elle se croyait folle à l'instant, tellement triste qu'il soit partit, alors ça ne pouvait pas être vrai qu'il soit là. Tout en reculant, elle trébucha à cause d'un meuble. Elle tomba à terre, sa bouteille se cassa. Sans faire attention, sa main se mit sur les bouts de verre, elle se coupa. Mais, elle ne pensait pas à ça. Il ne pouvait pas être là, alors qu'il était partit, il l'avait abandonné. C'était un lâche. Elle faisait des signes de tête négatif, comme si elle essayait de se dire que non ce n'était pas lui, devant elle.
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Chris D. Salinger

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MessageSujet: Re: Rien n'a changer, même, c'est devenu pire! - Fréro   Rien n'a changer, même, c'est devenu pire! - Fréro EmptyDim 18 Jan - 19:27

    « la pire des tortures humaines est de voir votre famille se déchirer pour quelque chose qui n'en vaut pas la peine. je te vois tituber dans les airs, te mal mener sur tes pieds agrippée à ta bouteille, accrochée à ta seringue, de la poudre plein le nez, et je n'ai pas le pouvoir, puisque c'est eux que tu tiens et moi que tu éloignes. »
    Chris venait enfin de recevoir ces affaires, sa mère avait tout de même jugée bon qu'au bout d'une semaine il aurait besoin de son packtage. Des tonnes de cartons et d'affaires en bordel occupaient à présent l'appartement vide d'y il y a quelques heures. Alors que sa mère avait envoyée ses affaires, la bonne que son père devait lui envoyer était toujours auc abonnés absents, ce qui en ce moment même ne l'arrangeait pas, car tous ce bordel il aurait aimé le déléguer à une tiers personne, manque de bol madame 'femme de ménage' ne se trouvait pas dans le coin, et tous ces cartons encombraient salement son appartement. Il prit alors ces jambes à son cou et se décida à tous ranger dès maintenant, vu le paquet d'affaires, d'ici 1 mois il aurait probablement terminé.
    Les minutes, et les heures passèrent et Chris n'en voyait pas le bout, pour quelqu'un qui avait toute sa vie était assisté par un grand nombre de personnes, se mettre à la tache restait quelque chose de difficile à avaler, mais bon quitte à s'y mettre un jour autant s'y mettre dès maintenant. Après six heures de bon et loyaux rangements Chris s'octtroya une petit pause. Il se jetta dans son canapé après avoir choppé une bière dans son frigidaire, étalé de manière très particulière dans le meuble en cuir il souffla d'insatisfaction face aux autres cartons qui l'attendait sagement dans tous les recoins de l'appartement. Son regard se posa alors sur l'un des carton qui était resté ouvert, probablement du à tous ce bordel, il avait du se déchirer, il se leva et se dirigea vers l'objet. En l'attrapant ce dernier se brisa dans le fond et tout son contenu s'écrasa sur le parquet, des bris de verre vinrent troubler l'aggacement du jeune homme, il tourna l'objet, qui venait de se briser, face à lui et sourit en constatant qu'il s'agissait d'une photo de lui et sa petite soeur quand ils étaient encore enfants. Kendyiah. La seule et unique personne à appeler la jeune femme de cette manière était lui. Son deuxième prénom, Chris l'avait toujours préférait à Poppy, et l'appeler d'une façon différente de toutes les autres personnes lui rappelait qu'il avait une place importante dans sa vie. Qu'il avait, certes. Avant. C'est en soupirant de désespoir que Chris posa la cadre briser sur la commode qu'il venait tout juste d'installer. Ce cadre briser représentait parfaitement la relation qu'entretenait les deux jeune personnes à présent. Chris étaient partit presque deux ans, et cela faisait presque deux ans qu'il n'avait pas de nouvelles de sa cadette, ni un appel, ni une visite, rien. Sa journée de montage/rangage s'acheva à vingt heures trente neuf minutes avant d'engloutir de toute ses forces la plus grosse pizza qu'il commanda. C'est après une journée de dur labeur qu'il prit la décision de sortir boire un verre.
    Après plus de vingt cinq minutes assit au comptoir du bar à siroter son breuvage, une jeune fille vint troubler le calme qui reignait à peu près en ces lieux, blonde, fine, ronger par l'alcool, et tuée par la drogue, elle agressa rapidement le barman avant de quitter les lieux à demi ivre. Chris l'avait reconnu, il l'a reconnaitrait parmis tant de personnes. Il finit son verre, déposa $20 sur le comptoir et suivit la jeune femme. Voilà tellement de temps qu'il n'avait pas eut de conversation avec elle qu'il n'était même plus sur de l'endroit où elle habitait, si elle habitait une maison. Après avoir attendut qu'elle franchise le seuil de sa demeure Chris tourna vaguement en rond devant le porche de la villa. Après de nombreuses minutes il prit la peine de sonner, même s'il n'avait pas la conviction qu'elle est la force de se trainer jusqu'à la porte. Avant même qu'il n'ait eu le temps de réfléchir à ce qu'il lui dirait, le visage creusé et bouffé par les différentes drogues que prenait Kendy, se présenta à lui de manière inquiètante, à peine une seconde s'éccoula que la porte se referma violement sur lui. Chris sursauta et arqua un sourcil, sans trop comprendre où elle avait trouvée la force de claquer cette porte aussi fort. Il était partit il y a deux ans, après avoir fait le stricte minimum pour sauver sa soeur, aujourd'hui s'était différent, il voulait la sortir de toute cette merde qui faisait d'elle une personne si incorrecte. Il ouvrit la porte et tenta de la retrouver au milieu de tous ce bordel qui dominait les lieux. *Les junkies sont vraiment invivable*, pensa-t-il. Il continua d'avancer quand il l'apperçut dehors, elle était face à lui er marchait à reculons s'en trop comprendre ce qui se passait, tandis que Chris, lui, comprenait absolument chaque secondes de cette scène. Elle aligna quelques mots avant de s'étaler par terre sur le verre brisé de sa bouteille qui venait de se fracasser au carrelage froid qui bordait la piscine. Les mains ensanglantées Kendy était totalement dépassée par les évènements que aucun signe sur son visage ne montra qu'elle éprouvait la moindre douleur de cette coupure. Chris s'approcha d'elle, il la prit dans ses bras, accrocha les bras de la jeune femme autour de son cou, et l'enmena à l'intérieur pour la déposer sur le canapé devenu beige de crasse à cause de l'immonde taudis dans lequel ils se trouvaient.
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